Pour le conduire à la visite programmée en début d’après-midi, le résident avait été tiré sans doute de sa sieste, ou de son apathie par les aides-soignants. Il était énervé, agité, perturbé, confus, dans le flot de ses pensées quand je les avais rejoint. Comme en tant que bénévole, je les approchais au jardin, l’aide-soignant se pencha vers moi et me dit, en parlant du résident, « Il ne voit pas la même chose que nous ! ».